Vous vous battez avec courage, avec honeur... Mais pourquoi vous battez vous reellement?
Pour comprendre notre guerre, et pourquoi nos guerriers se battent, nous devez rechercher les connaissances oubliées. Les origines de notre combat vienent d'aussi profond que la nature męme de l'univers. Le monde n'a pas toujours été ce qu'il est aujourd'hui.
Ŕ l'čre du temps avant que nous celui que nous connaissons, il n'y avait que le vide mystique et les energies anciennes, informes. Ce qui a amorcé le changement est au-delŕ de la compréhension, mais les anciennes énergies ont commencées ŕ gagner en substance. Et de ce tissu de substance s'est dévellopé, un fil, un pouvoir trčs spécial, qui a gagné la conscience.
Logos a été cet ętre, et son premier mouvement fut de créer un reflet de lui-męme. C'est lui qui forma ce qui allait devenir le monde de Carnac avec ses hautes montagnes, des vallées profondes et ce ciel bleu. Logos conjura de l'eau pour tailler les pierres, inonder les vallées et remplir les océans. Bientôt, le monde fűt merveilleux, comme un bijou turquoise suspendu dans le vide mystique. Logos n'était pas convaincu, cependant. Il a estimé qu'il devaient y en avoir d'autres pour apprecier la splendeur des rivičres, des océans et des lacs. Les rochers et les montagnes étaient grand, mais sans vie.
Puisant dans les énergies dont il s'était servi pour faconner les montagnes, Logos a créé la vie. Il y avait maintenant des poissons pour nager dans l'eau, et des arbres qui s'élevaient hors de la saleté. Ensuite apparurent les animaux de la terre et les oiseaux qui s'élevaient gracieusement dans le ciel. Et enfin, Logos fit l'homme, qu'il a créé ŕ son image. Les humains étaient comme logos du fait qu'ils avaient eux aussi le pouvoir de façonner le monde selon leurs besoins.
Pendant un certain temps tout allait bien. Logos, appelé Dieu par l'homme, a été contenu et l'ensemble de ses créations se sont réjouis et ont prospéré dans le monde qui leur était décerné.
Il devait bientôt ętre défait.
Dans sa hâte de créer l'homme ŕ son image, logos a laissé un morceau de l'énergie a motié formée. Il fut oubliée dans les plus sombres de la vallée ici et lŕ, et il est resté la pendant des sičcles, en attendant son tour d'ętre moulé dans quelque chose de beau.
Au début il a été patient.
"Logos a un plan spécial pour moi », pensait-il. "Peut-ętre qu'il n'a pas encore décidé ce qui doit ętre mon moule."
Cependant, comme avec tous les ętres conscients a qui on montre une certaine attention, puis qu'on abandonne, sa patience a diminué et il a grandi amer. Instillé avec un esprit pas si différent de Logos, la pičce oubliée de l'énergie s'est lentement voulu en pleine forme. Ne se limitant pas ŕ la forme finale des ętres humains, peu ŕ peu elle s'est développée au-delŕ. A chaque transformation il devenait de plus en plus puissant, et de plus en plus haineux d'avoir été oublié.
Au moment oů Logos s'est rappelé de l'oublié, il était bien trop tard. Une entité qui s'est nommé lui-męme Pathos est venu au monde. Il rivalisait avec la puissance de Logos mais aucun ne possčdait pas sa compassion. Au lieu de cela, il avait envie de changer ce que Logos avait laborieusement créé. Pour se venger, le premier acte de Pathos fut d'insuffler des changements au monde.
De l'acte de Pathos sont apparus les quatres saisons, le jour et la nuit, la vie et la mort. Ce n'était pas suffisant pour Pathos car il voulait que Logos ressentent la douleur et l'abandon qu'il avait ressenti. Prennant une poignée de sable, Pathos insuffla dans chaque grain ce qui serait connu comme les péchés de l'humanité, rempli de sentiments et de pulsions aussi sombre que celles de Pathos. il prit chaque grain et les sema dans la nature humaine. Et avec cet acte, les gens se détournčrent de Logos. Ils ont apprirent l'avidité, la convoitise et le désir de dominer et de détruire.
La vision de Logos pour un monde durable conservant sa splendeur pour l'éternité avait été brisée par l'introduction de la mort par Pathos. Logos avait le pouvoir de créer mais il ne possčdait pas le pouvoir de renouveler. Et bien que ce ne soit pas l'intention de Pathos, la distinction entre la vie et la mort provoqua un nouvel ętre. L'obligation de recréer la vie ŕ partir des énergies laissés par les morts est tombé ŕ un nouveau Dieu: la déesse de la vie, Akara.
Akara était en contact constant avec tous les ętres vivants. Elle observe les anciens dépérir et mourir, et elle nourrit les jeunes ŕ prendre leurs place. Elle a appris ŕ comprendre les créatures qui peuplaient le monde d'une facon dont Logos ne pouvait pas. Elle les aimait comme les siens męme si ils ne lui rendait aucun hommage. Au fil du temps, elle sentait Logos devenir de plus en plus lointain dans sa douleur, elle savait que logos négligait ŕ présent ses créations car il ne pouvait supporter la douleur que la facon dont elles ont été changés lui provoquait, en particulier de la façon dont ils meurent. Akara était désespéré que la vie ne soit plus aussi prospčre que par le passé, sous la direction du créateur.
les gens priaient parfois:
Nous sommes tes enfants,
bien oubliés
Ne nous abandonen pas.
"Peut ętre," elle pensa, "je devrait adopter ces enfants comme les miens."
Logos senti les pensées d'Akara, et craint de perdre ses créations complčtement. Il promis ŕ Akara qu'il allait reprendre ses responsabilités, et la Déesse était satisfaite pour le moment.
Tout comme Logos commencait ŕ remplir sa promesse, Pathos réapparu. Cette fois, il a décidé de pervertir la premičre des créations de Logos, la montagne męme sur laquelle Logos il avait d'abord senti le vent et a touché les nuages??. Pathos invoqua le feu du plus profond de Carnac. Horrifié par la destruction de ses chčres montagnes, Logos a été incapable d'arręter Pathos. les forces destructrices coulait jusqu'ŕ enflammer les foręts et mettre les rivičres en ébullition. Les humains restčrent pétrifié devant l'horreur qui se déroulait devant eux, et beaucoup ont perdu la vie.
Logos ŕ nouveau retiré dans son propre désespoir ne se souciait plus pour le monde qui n'était plus le sien.
Cette fois, Akara était déterminée ŕ assumer la responsabilité de logos. Et comme elle savait qu'il ne saurait jamais l'abandonner facilement, pour le bien de la vie elle-męme, elle complotait en vue de débarrasser le monde du Logos faibles de cśur et du Pathos impitoyable.
Le désir tordu d'Akara a abouti ŕ la création d'un nouveau Dieu: Cypher. Mais cette créature ne connaissait rien d'autre que la destruction et la tromperie.
Akara alla informer Logos ŕ propos de ce nouveau Dieu, "Il a le pouvoir de détruire, rien de plus, rien de moins. Usant de son pouvoir, vous pouvez ętre débarrassé de Pathos."
En entendant cela, Logos fut ravi et parta immédiatement ŕ la recherche de Cypher. Comme il parta avec des ręves de son monde de retour ŕ sa forme antérieure, il ne vit pas le sourire de la déesse.
Cypher n'était pas ŕ l'image du pouvoir que Logos avait envisagé. Il était l'antithčse de la magnificence, fragile et usé. Quoi qu'il en soit, logos fit confiance ŕ la Déesse de la vie et se mit ŕ demander de l'aide.
En secret de Logos, Akara avait déjŕ approché Cypher et lui avait énoncé la possibilité de détruire les deux autres dieux. «Vous devez tuer Pathos d'abord," conseilla-t-elle ŕ Cypher. "Logos est idéaliste et faible; lui vous pouvez le tuer ŕ votre guise."
En préparation pour affronter Pathos, Logos a atteint et a appelé les nuages?autour de lui. Des nuages, il façonna une lame si belle qu'elle cachait ses intentions meurtričres. Cette lame qu'il l'a donna ŕ Cypher, et ensemble, ils partirent ŕ la plus profonde vallée de Carnac oů résidait Pathos.
Comme ils approchaient, Pathos est sorti de l'ombre et brandit une lance en bois surnaturel. La vie semblait rayonnée de celui-ci et il y avait un sentiment de sérénité qui en émanait. Il y en avait une seule qui aurait pu créer une telle arme, et elle observait ŕ distance.
La bataille a été rapide mais féroce. Aucun mots n'ont été échangés par les combattants alors que Cypher chargait, son épée étincelante haute. Pathos bloquait coup sur coup. Logos suivait le combat qui se déroulait, en priant que Pathos y verait sa fin. De force égale, les dieux se tournčrent vers leurs pouvoirs individuels pour leur donner l'avantage. Pathos balaya le soleil et les étoiles afin de plonger le monde dans l'obscurité. Cypher a été momentanément aveuglé. Pathos s'est élancé, sa lance écorcha l'épaule de son adversaire, et la lance brilla en vert. Ainsi la lumičre de la lance donna ŕ Cypher la vision dont il avait besoin et il rompu le bras gauche de Pathos.
Pathos fut frappé par la douleur et tomba ŕ genoux, sa force vitale s'échappant de lui. Alors que Cypher et Logos le regardait triomphalement, des changements subtils apparurent dans Pathos et Cypher. Bien que les apparences n'ait pas changé, les forces vitales changčrent de place, de l'un ŕ l'autre. Pathos ŕ travers son pouvoir de changer la magie résidait ŕ présent dans le corps du Cypher, alors que l'essence de Cypher était maintenant dans le corps déchiré, qu'il avait blessé quelques minutes plus tôt.
Bien que dans une grande douleur, l'esprit de Cypher a refusé de mourir. Il saisissa la lance et la lanca sur ce qui avait été son propre corps. Pathos a été tellement surpris en célébrant son génie propre ŕ l'évolution des corps qu'il ne le vit pas la jeter. La lance magique traversa le cśur du Dieu, et il fut détruit.
Pathos était mort, alors que Cypher était mourant. Cypher s'est alors rendu compte que ses pouvoirs n'étaient plus cantonnées ŕ la destruction. En raison du changement des âmes, et avec un certain effort Cypher pourrait induire un changement un peu comme Pathos l'avait fait une fois. Concentrant ses capacités naissantes sur son bras coupé, il a d'abord stopper le sang de couler. Il a ensuite tiré sur les tendons et l'os pour les élargir jusqu'ŕ ce qu'ils prennent finalement la forme du membre manquant.
Complčtement rétabli, il se tenait la, avec une nouvelle force, et il cria afin que tous l'entende, «je renais! Ayez peur de moi, car je suis maintenant sans pareil!"
Comme une démonstration de force il a brisé la vallée et sur les décombres il façonna un monument pas en pierre mais en verre. Ses arętes vives pointait dans toutes les directions.
pendant ce temps, les humains ont afflué émerveillés par sa construction afin de rendre hommage ŕ son créateur, la nouvelle entité et puissant Pathos-Cypher.
Dans le sillage inquiétant de la bataille entre Pathos et Cypher, et l'entrée en cours de l'entité Pathos-Cypher, Carnac lui-męme commence ŕ montrer des signes de changement. Les fleurs perdu leur parfum, les saisons sont devenues imprévisible, et les eaux souterraines deviennent brunes de temps en temps, couleur rouille. Et d'autres changements étaient en cours.
Toutes ces choses n'étaient pas l'accomplissement de Pathos-Cypher. Il était trop occupé ŕ profiter de l'attention de ses nouveaux sujets.
Les années ont passé, et au fil du temps l'humanité s'est divisé en six grands royaumes: les marchands de guerre du désert d'Hellsgarem; Buegrant avec ses ports et les navires en acier, la ville blanche de Arrdeam; Planisad, célčbre pour les récoltes magnifiques; Brisbia, le centre du commerce et Enfin El Morad au maximum de la fin de tous les royaumes.
Alors que ces royaumes se formaient, des changements dans le monde ont touchés non seulement les créatures existantes mais aussi d'autres choses. Avec les années qui passaient, il y avait de plus en plus d'observations d'énormes créatures ressemblant ŕ des loups et des ours, mais en plus terribles et plus violents. Plus surprenant encore étaient des ętres de pierre et de magie. Le pire, c'étaient des cadavres animés décidés ŕ apporter toute forme de vie au niveau qu'ils ont compris: mort-vivant.
En peu de temps, ces créatures infernales sont passé ŕ des nombres tels que męme les villes de l'homme avec leurs hauts murs et d'ardents défenseurs ne pouvaient pas les repousser. Le premier ŕ tomber fut Planisad, dont les ressources alimentaires étaient marquées. Peu de temps aprčs, Brisbia et Arrdeam tombaient. Męme le puissant royaume barbare, Hellsgarem, n'a pas survécu, ce sont eux qui ont incendié leur propre ville au lieu de laisser tomber. Les survivants ont afflués ŕ bord des navires de la Buegrants qui étaient eux-męmes en train d'abandonner leur ville, fuyant pour El Morad.
Le Roi Manes, chef d'El Morad, accepta les réfugiés sans préjudice. Ceux qui en sont capables rejoignent l'armée, en outre pour renforcer les défenses de la seule ville qui n'a pas encore été attaqué. De nouveaus remparts ont été construits, les fournitures ont été apportés, et plus d'armes ont été forgés. Les citoyens d'El Morad étaient déterminés ŕ ne pas laisser leur ville chuter et ceux qui avaient déjŕ fui furent rapidement fidčles ŕ leur nouveau domicile. El Morad était devenu le dernier bastion de l'humanité. S'il disparraisait, l'humanité serait condamnée.
Pendant sept longues années ils ont combattu les hordes de morts-vivants et autres monstres et toutes ces années le Roi Manes pria les dieux qui semblaient faire la sourde oreille et fermer les yeux. Pendant ce temps, le peuple a résisté, et est męme devenu plus fort.
Aprčs les deux premičres années de combats, le peuple d'El Morad avait grandi avec l'habitude des attaques. Leur position était solide et ils ont amélioré leur façon de faire la guerre. Finalement, ils ont osé s'aventurer au-delŕ de la sécurité des murs. Le tunnelage dans les montagnes derričre la ville fournissaient des métaux, et le bois ils l'ont récolté en envoyant des bandes armées dans les foręts. La nourriture s'est avéré ętre un défi au début, mais en déplaçant une grande partie de la population dans les montagnes et les souterrains, assez d'espace a été libéré dans la ville fortifiée pour planter les cultures.
Dčs la troisičme année, les vétérans ont commencés ŕ chasser les monstres, plutôt que d'attendre pour repousser les attaques. Ces guerriers ont ramené des histoires d'aventure et de gloire. Bientôt, ces parties se sont organisés en ce qui serait connu comme les Chevaliers. Ils vivaient en dehors d'El Morad et consacraient leur vie ŕ leur devoir; certains d'entre eux auraient męme appris les arts de la magie et la guérison. Les années ont passé, et les Chevaliers ont augmenté leur pouvoir.
Le dernier soir de la septičme année, quelque chose d'extraordinaire s'est produit. Une pluie rouge a commencé ŕ tomber sur El Morad. Au loin, un brouillard vert est apparu et s'est rapproché de la ville. Un avertissement avait sonné. Pour la premičre fois depuis des années, tous ont courus vers les portes, et plus d'un admettrait avoir eu peur.
Le Roi Manes une fois encore pria pour n'importe qui pourrait l'entendre.
Cette fois un Dieu a répondu et demanda, "Que voulez-vous de moi?"
"Chaque jour une partie de mon peuple meure. S'ilvous plait aidez-nous."
"Il n'est pas nécessaire," fűt la réponse.
"Mais tous les jours mon peuple meure. Et maintenant il y a cette pluie torrentielle et le brouillard, ce que beaucoup pensent ętre le signal de la fin de tout. N'y a-t-il pas de plus grand besoin?"
"Il n'y a pas de besoin."
Déterminés ŕ voir le salut, le roi demanda: «Vous avez le pouvoir; ŕ votre seule volonté, tout sera ŕ nouveau bien, mais nous sommes vos humbles serviteurs"
"Les serviteurs ne sont pas libres de conséquence, et vous devrez devenir mes serviteurs. Aujourd'hui je me montre, pas pour entendre votre pričre, mais pour vous dire que votre fin est proche."
Le roi se fâcha: «Si vous ne nous aidez pas, nous trouverons notre fin ensemble."
Mais le Dieu avait déjŕ disparu. Le roi ne savait męme pas quel Dieu c'était. Si il s'agissait de Logos? Akara? Ou Pathos-Cypher?
"Il doit bien y avoir quelque chose que nous pouvons faire», dit l'un des membres du conseil, en essuyant la sueur de son front.
Un autre ŕ côté de lui essaya d'empecher un bâillement. Il était la fin de la journée et les dirigeants avaient discuté de la question depuis la veille, lorsque le Dieu avait répondu au roi.
Un seigneur Planisadian s'est levé et a répété son intention de sortir du brouillard vert. "Nous ne pouvons pas rester ici et ętre englouti par cette horreur rampante plus chaque jour."
Aucun des scouts étaient rentrés et le Seigneur pensait qu'il valait mieux fuir pendant qu'il en était encore temps.
Mais d'autres ont fait valoir qu'il faudrait des jours pour passer tout le monde et qu'ils seraient capturés alors qu'ils tenteraient de s'échapper, et n'auraient donc męme pas la protection de leur ville fortifiée.
«Non, nous devons tuer ce Dieu et tous devrait ętre bien ŕ nouveau», a déclaré un Erenion gras, balayant un arc avec sa main et proche de renverser un serviteur qui était en train de remplissage son gobelet.
"Oui!" approuva un Barbare avec passion. "Nous courűmes avant, et n'ont avons survécu qu'en faisant un point ici. Nous nous sommes battus avant. Et donc se battre de nouveau, nous le ferons. Qu'ils viennent!"
Le conseil était en effervescence. Ce n'était pas la premičre fois que quelqu'un suggérait de s'en prendre aux Dieus. Et tandis que beaucoup estimaient que c'était la seule solution, ils étaient réticents ŕ se battre.
"Etes-vous fou?" crya quelqu'un, "Cypher est un DIEU"!
"C'est Pathos, imbéciles! Ne vous y trompez pas!"
«Je soupçonne qu'un autre Dieu soit vraiment derričre tout cela," dit l'un des petits nobles, un plus connu pour lire des livres que faire quelque chose d'utile.
Puis le roi se dressa. Il dit ŕ tous: «Nous allons rester, mais nous ne nous battront pas. Envoyez des chevaliers."
Les Chevaliers parcoururent les portes du château au milieu des acclamations de la population tout entičre. Ici se tenaient les héros de la légende, ceux qui voudraient les sauver tous. Dans leur armure nouvellement façonnée avec leurs épées polis, ils avaient tous les aspects des vieux héros romanesques. Pas un seul qui les a vu ne croyait qu'ils échoueraient.
Prčs de trois cents hommes, qui partaient ŕ la recherche de Dieu. La légende dit que Dieu avait construit un monument de verre autrefois et qu'il résidait prčs de lui, entretenu par ses disciples qui répondait ŕ tous ses besoins.
Guidée par pas plus que des récits pour jeunes enfants, les Chevaliers avancaient ŕ cheval dans le désert. Dans les foręts, ils ont tué toutes les créatures du mal qu'ils ont rencontrés, mais elles étaient rares et espacées. C'était comme si la quasi-totalité des ętres vils que les Chevaliers avaient souvent chassés avaient déménagés ailleurs.
Une nuit, une vague de fatigue a déferlé sur les Chevaliers et ils sont tombés dans un profond sommeil. Ils ręvaient d'un endroit prčs d'une vallée, il y avait lŕ des gens. Leur esprits semi-conscients étaient ravis dans un premier temps, car ils pensaient qu'ils avaient atteint leur destination. En s'approchant, cependant, ils ont vu le désespoir dans le visage des gens, la fatigue et il n'y avait pas une once de joie dans leur âme. La réalisation est apparu aux chevaliers ręvants: ceci était le repaire du Dieu et ces humains ne sont pas ses sujets aimants, mais ses esclaves. Ils ont dérivé tout prčs prčs, mais quand ils se sont approchés du monument ils ont sentis plutôt que vu une main tendre se tendre et bloquer leur cacher la vue. Le ręve a pris fin, mais ils ne bougčrent pas jusqu'au matin.
Alors que les Chevaliers étaient troublés par ce qu'ils avaient vu, ils n'étaient pas moins déterminés. Plus important encore, leurs connaissances n'était pas aussi limitée ŕ présent. Ils étaient attirés vers l'ouest comme s'ils savaient que c'était lŕ oů ils devaient ętre. Et dans leur esprit et leur cśur résonnait un verset qui était en quelque sorte venu ŕ eux ŕ la suite du ręve. C'était une pričre oubliée de longue date:
Nous sommes tes enfants,
Bien que depuis longtemps oubliés,
Ne nous abandonne pas.
Les Chevaliers continučrent sans arręt pendant des jours. Ni eux ni leurs animaux ne ressentirent la faim ou l'épuisement. C'était le ręve. Et la pričre. Ils leur ont donné la force. Ils ont continués jusqu'ŕ avoir une vue fantastique: un énorme monument qui étincelait comme un diamant. Męme en l'ayant vu de prčs dans leur ręve ils n'était pas préparés ŕ la magnificence devant eux.
Pourtant, ils semblaient atteindre une barričre infranchissable, avec le monument juste au-delŕ. Il n'y avait rien, mais les chevaux refusaient d'aller au-delŕ de la ligne invisible. Męme les chevaliers ŕ pied se trouvaient incapables de tenter de le traverser. C'était comme si le désir d'entrer dans cette «zone» les avait quitté au moment oů ils ont approché.
A midi, aucune n'avait passé, mais le terrain était en mutation. Les foręts et l'herbe qui les entourait se sont dissous comme si c'était rien de plus qu'une illusion. La terre sčchait si vite qu'elle a commencé ŕ craquer. Tout ŕ coup, le terrain sur lequel les chevaliers se tenaient a cédé et ils sont tombés dans une grande fissure.
Beaucoup ont été blessés dans cette chute et certains ont perdu la vie. Les Chevaliers restants se retrouvent dans une caverne entourés de chaque monstre qu'ils avaient eu ŕ faire face, avec certains sur lesquels ils n'avaient jamais posé les yeux. C'est ici que les mauvaises choses de la foręt avaient disparues.
Se tenant debout la et les dominant se trouvait Pathos-Cypher.
Avec un simple clin d'śil de Dieu, les Chevaliers ont été agressés de toutes parts. Les Chevaliers ont formé un cercle de boucliers, en retenant l'ennemi du mieux qu'ils pouvaient, tout en protégeant les blessés et les guérisseurs dans l'anneau. Les Chevaliers étaient habiles dans la guerre, mais alors que la bataille se poursuivait, leur nombre diminuait et il semblait ne pas y avoir de fin aux attaques sans relâche de leurs ennemis.
Lorsque les Chevaliers ont atteints moins de cinquante, les bętes ont stoppées leur agression. Ils se sont écartés alors que Pathos-Cypher approchait. Le Dieu voulait que les mortels le voit avant de rencontrer leur destin. En le voyant de prčs pour la premičre fois, les Chevaliers ont vu ce que ce Dieu était vraiment. Outre sa taille gigantesque, il avait l'air ŕ peine mieux qu'un vieillard. Il n'était pas le guerrier féroce que tous s'attendaient ŕ ce qu'il soit.
"Bienvenue, Chevaliers. Je vois que vous devez ętre fatigué, railla-t-il.
Les Chevaliers ne répondirent pas. Au lieu de cela, ceux qui tenaient chaque sabre choisirent une cible et la transperça avec leur lame. Ceux doués dans les arts mystiques ont concentrés leurs pouvoirs pour une attaque puissante, et le feu et la foudre ont brűlés toutes les créatures restantes. Si vive fut l'attaque que Pathos-Cypher ne pouvait que regarder comme la plupart des bętes qui ont été tuées. Les hommes étaient perdus, mais aprčs tout était fini, pas une seule créature ne se tenait debout, et celles encore en vie saignaient et gisaient impuissantes sur?le sol de la caverne. Les Chevaliers restant encerclčrent Pathos-Cypher.
Mais battre un Dieu par la force physique pure et la petite magie qu'ils pourraient invoquer était lde a folie pure. Cependant, ils ont dű essayer quelque chose.
Pathos-Cypher savait qu'il était plus fort que leur lames et leurs sorts, et il n'avait pas peur. Il fit un geste de la main, et les cadavres des chevaliers tombés s'agitčrent. Bientôt, ils se lčverent ŕ nouveau, et voulurent tuer leur vieux frčres. Alors que le premier zombie fermait ses doigts malheureux sur une épée tombée, des paroles de feu ont brűlé dans l'esprit des Chevaliers vivants.
Ils commencčrent ŕ chanter la pričre qui leur était parvenu dans le ręve.
We are your children,
bien que depuis longtemps oubliés,
Ne nous abandonnes pas.
De plus en plus de leurs frčres tombés étaient debout et se réarmaient. Jamais dans leur vie les Chevaliers n'avaient ressenti autant de peur tout en se sentant un tel espoir. Ils continučrent.
We are your children,
bien que depuis longtemps oubliés,
Ne nous abandonnes pas.
De plus en plus fort, les mots resonnčrent dans la caverne, retentissant sur les anciens murs.
Nous sommes une fois de plus avec vous,
Vous pouvez nous écouter,
Écoutez nous s'il vous plaît.
Pathos-Cypher, insensible ŕ leurs pričres pitoyable, montrait ses pouvoirs. Pourtant, les Chevaliers se tenaient la, inébranlables.
La fin est proche,
Nous souhaitons revenir ŕ ce qui était autrefois,
Acceuillez-nous ŕ la maison.
Comme la foudre, un flash passa comme un éclair du ciel. Logos, le créateur, souleva un arc puissant et laissa s'envoler une flčche d'énergie vivante alimentée par les pričres pour le salut et un peu de puissance magique verdâtre. La flęche frappa l'incrédule Pathos-Cypher dans son cśur tordu.
Avec son dernier souffle, Pathos-Cypher maudit les chevaliers, «Celui qui m'a persécuté, sera maudit avec mon sang noir!"
Avec un éclat qui aurait aveuglé tout ce qui n'avait pas la bénédiction de Logos, Pathos-Cypher explosa dans la lumičre qui fut ensuite envoyé au vide mystique.
Deux voix plein d'amour declarčrent: «Pendant longtemps nous avons été sur notre chemin de retour pour vous. Bienvenue ŕ la maison. "
Certains des Chevaliers murmurčrent le nom, «Logos».
Quelques-uns ont murmuré, "Akara."
Avec la défaite de Pathos-Cypher, la pluie rouge a cessée et le brouillard vert s'est levé. Les Chevaliers triomphants retournčrent chez eux pour retrouver l'ensemble d'El Morad pour la célébration. La guerre qui avait duré sept longues années a finalement pris fin avec cette victoire. Les histoires des puissants Chevaliers se propageaient rapidement parmi le peuple. Des sanctuaires et des temples dédiés ŕ logos et Akara furent construits. Beaucoup de savants débataient sur comment ces deux Dieux s'étaient réunis. Qu'est-ce qui avait mené ŕ ce résultat?
L'humanité recommencait ŕ prospérer et personne ne se souvenait que Pathos-Cypher avait juré de se venger par une terrible malédiction.
Maintenant que la paix régnait, beaucoup s'aventuraient hors de la ville. Dans un premier temps, des petites fermes se levčrent juste au-delŕ des murs et des remparts qui les avait protégés autrefois. Plus tard, les plantations s'étendčrent de plus en plus loin, et de plus en plus de cultures de toutes sortes. Des villages pour soutenir les agriculteurs se multipliaient. La population a migré et le monde civilisé s'est élargi.
Mais la paix ne dura pas longtemps sur les terres d'El Morad.
Les chevaliers qui avaient commencé une nouvelle vie ont donné naissance ŕ des enfants, des enfants portant la malédiction, le sang noir de Pathos-Cypher.
Le mal contenu dans le sang noir causaient des maladies parmi le peuple et la peste frappa le Royaume. Les gens étaient scandalisés quand ils ont appris la cause de cette maladie. Certains de ces enfants difformes et effrayants ont été envoyé dans le désert et certains ont dű vivre dans les égouts sombres et humides de la ville pour se cacher du public. Les gens appelaient ces maudits enfants des Tuareks.
Les prętres d'El Morad capturaient le Tuareks, croyants qu'ils étaient le mal. Les enfants des Chevaliers vivaient maintenant comme des esclaves ŕ El Morad, la ville męme que leurs parents avaient sauvé.
Bientôt, un grandit parmi les Tuareks pour sortir les siens de l'esclavage. Il se batta pour les amener ŕ un endroit oů ils n'auraient pas ŕ vivre dans la peur constante et la honte. Il enseigna aux Tuareks les habiletés au combat et comment survivre dans le désert. Son nom était Zignon, le héros et le chef spirituel des Tuarek. Zignon continua ŕ conduire ses disciples au nord. En chemin, ils ont dű constamment lutter contre les serviteurs restants de Pathos ainsi que les soldats d'El Morad qui les poursuivaient.
Souvent affamés et toujours grelottants de froid, ils suivirent Zignon plus au nord. Ils traversčrent les montagnes d'Eslant, qui était décrit comme le bout du monde. Sur les plaines de glace aprčs les montagnes se trouvait le château de Luferson. C'était le męme endroit oů la destruction de Pathos avait commencée. Il étaient ŕ l'abri des soldats d'El Morad, et ainsi Zignon créa un royaume autour du château de Luferson. Il appela son Royaume la nation Karus. Mais beaucoup de Tuareks sont morts parce qu'ils ne pouvaient pas s'adapter ŕ la rudesse du climat et une grande partie de ceux qui arrivaient ŕ survivre en voulaient ŕ Zignon pour les avoir conduis ŕ cette terre rude.
Zignon pria Logos de sauver les Tuareks mais Logos ne répondit pas. Logos n'avait pas créé ces créatures changées, il avait créé les humains. Bien que les enfants des hommes et des descendants des chevaliers héroďques, les Tuareks ont été ignorés et se sont sentis trahis.
Toutefois, un Dieu répondit ŕ la pričre de Zignon. Elle n'a pas dit son nom, mais se contenta de sourire, et dit: «Mes plans se sont finalement réalisés. Maintenant, j'ai moi aussi mes propres enfants ."
Grâce ŕ ce soutien mystérieux d'un Dieu, Zignon promis de renverser El Morad pour se venger de l'humiliation et de l'oppression, dont lui et ses semblables avaient souffert.
Et ainsi, la guerre perpétuelle débuta.
Beaucoup de héros ont combattu et sont morts dans la guerre perpétuelle entre Karus et El Morad, mais aucun héros n'a jamais atteint le courage et la férocité de Ronark. Ce mage El Moradien était renommé pour charger tęte baissée dans la bataille sans aucune crainte, et on pouvait l'entendre crier: "Pour logos!" Ronark décimait tous les ennemis qui osaient s'opposer ŕ lui avec ses techniques magiques inégalées, mais męme les grands héros avec une gloire immortelle ont un corps mortel.
Oů ce puissant mage aurait péri dans la bataille fut baptisé le «Pays de Ronark" en son honneur. Toutefois, Ronark ne tomba pas. La Déesse Akara, voyant que les Tuarek ne pouvaient le vaincre, le vola de son combat et l'emprisonna dans une sphčre magique. Ronark appela logos ŕ l'aide, mais il semblait que ses pričres tombaient dans l'oreille d'un sourd. Bien que semblant ętre abandonnée par son dieu, la volonté et la foi de Ronark en logos ne pouvait pas ętre écrasée. Enfin, une nuit dans son sommeil, Logos est venu ŕ Ronark dans son ręve comme une vision et béni Ronark avec la capacité d'absorber ses cellules magiques et de contenir son pouvoir au sein de son corps. Au réveil, Ronark se prépara ŕ lancer le sortilčge qui le liberera. Aprčs beaucoup de temps, Ronark réussit finalement ŕ absorber complčtement ses cellules et échappa ŕ Akara. Ayant la force du charme puissant d'un grand dieu en lui, le corps de Ronark fut immortalisé et il fut transformé en un dieu.
A présent, la guere perpétuelle fait rage ŕ nouveau dans le pays de Ronark. Quelque chose entraîne les pays d'El Morad et de Karus. Une voix puissante s'éleva au-dessus du bruit des conflits sanglants et proclama :
“Attention, Akara! Tes tours m'ont enlevé de la bataille, mais ta magie a fait de moi un Dieu! Carnac, un Dieu des Chevaliers existe! Tous doivent venir et se battre!”
La transformation de Ronark lui a donné l'immortalité, mais ne le fit pas tout-puissant. Il pourrait tuer les champions les plus puissants de Karus, męme plusieurs d'entre eux ŕ la fois, mais męme lui n'a pas pu tenir ŕ distance une armée entičre. Avec de la tactique et de la discipline féroces, Karus a été en mesure de battre Ronark, mais ŕ chaque fois l'énergie éternelle dans le héros le ressusciterait. Chaque résurrection était un tourment et Ronark se fâchait contre logos pour la perspective de la douleur sans fin, et contre Akara pour l'avoir emprisonné. Il vit son immortalité comme une blague de mauvais goűt, au lieu d'une bénédiction, et parfois męme il souhaitait avoir les pouvoirs destructeurs de Cypher ou Pathos.
Ronark commencait ŕ sonder les vides mystiques, pour sentir toute la puissance résiduelle de la destruction de Cypher et Pathos, en quęte de cette terrible puissance. Pour des nuits et des semaines il a cherché, mais il a échoué ŕ la trouver. Puis, une nuit, juste avant que le soleil ne commence ŕ monter, il l'a trouvé - et non dans les cieux comme il l'avait prévu, mais dans une vallée oů les troupes d'El Morad s'étaient rassemblées pour la bataille. Ronark rugit de plaisir triomphant, car, enfin, il pourrait avoir le pouvoir, qu'il avait cherché pendant si longtemps, et écraser Karus une fois pour toutes. Aujourd'hui serait le début de leur fin, puis il réglera ses griefs avec logos.
Comme le soleil crętait les montagnes, Ronark traversa les rangs d'El Morad et se mit au centre du champ de bataille. Il provoqua l'armée Karus, criant la façon dont son pouvoir ultime les écrasereraient tous, et apporterait la męme fin misérable ŕ leurs familles. Karus ne porta aucune attention ŕ l'homme confiant, et d'un seul esprit, ils se précipitčrent sur Ronark, avec l'intention de le défaire encore une fois. Alors quils se rapprochaient de lui, Ronark se tourna vers ses compatriotes et leur ordonna de se retirer, ils allaient ętre témoins du plus grand acte de guerre, que le monde aurait vu.
Ronark fut tué une fois de plus.
Sa résurrection a été une douleur plus atroce que n'importe quel autre moment. De plus, en colčre que sa prétendue découverte de la puissance de destruction totale n'était qu'une illusion, Ronark se rendu compte que ce qu'il avait trouvé était seulement une petite partie de l'essence de Cypher et Pathos. Ronark s'est immédiatement attelé ŕ la tâche de trouver et de ramasser tous les morceaux de leur pouvoir qui avaient été dispersés ŕ travers les terres de Carnac. Il avait été absorbé comme la lumičre par les plantes, qui ont été ŕ leur tour ingérés par des créatures. Ronark constata qu'il ne pouvait pas simplement capter la puissance des créatures qui l'avait ingéré, ils devaient les tuer. Alors il ordonna ŕ ses hommes de tuer en toute insouciance, sachant que, avec leur aide, il finirait par réussir ŕ absorber la totalité de la puissance.
Sentant Monter en puissance Ronark, logos et Akara n'ont pas au d'autre choix que de creer un autre, un rival, avec les męmes capacités que possčde Ronark. Ils avaient besoin que cet autre ait le pouvoir de battre Ronark tout en ne possédant pas le désir de les détruire.
Ils ont trouvé Girakon, un jeune guerrier invaincu dans la bataille, ayant l'envie de se venger de Ronark, mais pas d'ambition pour le pouvoir absolu. Dans les batailles ŕ Ardream il était devenu célčbre pour sa capacité féroce de rallier ses hommes et de surmonter ses ennemis, męme dans des obstacles apparemment insurmontables.
La mčre de Girakon avait été l'un des premiers Pury Tuarek ŕ fuir El Morad, et il a grandi en sachant que lui et tous ses gens étaient sur?le bord de la destruction. Girakon a pris pour objectif de tenter de liberer son peuple de la tyrannie El Morad et de l'injustice - un objectif considéré comme faible par nombre de ses pairs. Ils voulaient la victoire complčte sur El Morad et un renversement de leur fortune. Girakon voulait simplement la paix, mais c'était avant les raids des Sharines. Sa mčre, avec des centaines d'autres, ont été sauvagement assassinés. El Morad appelait le raid des Sharines «un nettoyage de la terre", mais pour Girakon c'était un appel ŕ la pleine et absolue vengeance. A partir de lŕ, Girakon, résolu ŕ débarrasser le monde de leurs oppresseurs, est devenu aussi froid et dur que la glace profonde de la partie nord.
Pour égaler Ronark, Akara donna l'immortalité ŕ Girakon et Logos lui donna le męme sort d'absorption de puissance. Ils dirigeaient Girakon ŕ rechercher et absorber autant de la puissance restante de Cypher et Pathos qu'il le pourrait. Ils ont demandé ŕ tous les Karus de tuer des créatures dans l'espoir que Girakon soit en mesure d'absorber la puissance exposée avant que Ronark ne le fasse. Sa force a augmenté rapidement, et il ne se reposait jamais dans sa recherche de morceaux épars de la puissance.
Les deux nations, El Morad et Karus savaient que aider chacun leur héros ŕ récupérer le plus de pouvoir laissé par Cypher et Pathos contribuerait ŕ mettre définitivement un terme ŕ leurs ennemis jurés.
Si la guerre était toujours une bataille féroce et sans fin de vengeance, elle était devenue une tempęte alimentée par la nécessité absolue pour la survie seule ... car celui qui perdrait périrait.
Avec tous les chevaliers valides l'abattage des créatures qui libéraient des quantités infimes des essences de Pathos et Cypher, Girakon et Ronark rapidement se sentirent plus forts. Pourtant, certains s'inquičtaient de la façon dont les héros augmentaient leur pouvoir. A chaque gain, Ronark avait faim de plus, et n'avait l'air de s'occuper de rien d'autre. Girakon, contrairement ŕ lui, fit preuve d'agressivité envers ses propres guerriers. Il était dit dans les arričre-salles et les coins sombres qu'il y avait quelque chose de mauvais et tordu dans les pouvoirs que les héros absorbaient.
Et enfin, les derniers morceaux de Pathos et Cypher ont été absorbés. Girakon et Ronark étaient beaucoup trop de force égale pour pouvoir extraire la puissance de l'autre. Les deux prévoyaient une bataille finale qui déciderait de leur propre sort ainsi que le sort de leur peuple. Avec une détermination farouche, de chaque côté étaient prévus des plans pour ce qui serait l'événement le plus déterminant depuis le vol ŕ destination de Moradon.
Pendant des semaines, les armées d'El Morad et Karus combatturent. Ardream et Ronark Land étaient témoins de batailles vicieuses, et la haine d'un côté come de l'autre continuait ŕ augmenté alors que les deux armées étaient réunies sur les côtés opposés de la vallée lunaire. Quand ils ont chargés, les cris qu'ils lont lâchés atteignčrent męme Akara et Logos, qui regardaient du haut des cieux.
Au milieu du plus rude des combats, Ronark et Girakon se rencontrčrent. Les deux ont invoqué les puissances de l'enfer pour écorcher et geler l'autre, mais ce fut loin d'ętre suffisant pour les détruire. Les moments suivants ont été un flou de coups faisant tremblé le sol et de cris vicieux des créatures nourris de glace et de feu. La bataille a commencé ŕ tourner autour de leur duel, se tournant lentement vers un tourbillon de combats massif.
Et puis Ronark assčna un coup critique. Girakon tomba, et ce moment de flottement mena ŕ sa chute. Ronark assena le coup final, libérant la puissance contenue dans Girakon. Alors que Ronark absorbait le pouvoir, un changement s'est produit en?lui. Il s'est assombri. Les pouvoirs perdus de Pathos et Cypher ont été réunis et acquirent une certaine forme de conscience dans le corps de Ronark. L'entité Pathos-Cypher était de nouveau réunie.
Soudain, des messagers de Pathos se matérialisčrent et entourčrent Ronark. "Nous vous avons finalement trouvé, maître. Nous vous avions perdu depuis si longtemps. Nous avons réuni les anti-énergie comme vous nous l'aviez commandé. Il est en attente pour vous de le demander au Crystal de Moradon." Les serviteurs de Pathos provenaient de l'essence de leur ancien maître.
Ronark appela avec une voix qui a été entendue dans l'ensemble d'Adonis, «Écoutez-moi, peuple de Carnac! Aujourd'hui, je vais réclamer mon pouvoir légitime. Pour Moradon!"
Quand il arriva, Ronark marcha droit vers l'énorme cristal au centre de la ville. Des messagers apparurent alors qu'il començait le sort pour absorber les énergies contenues dans le présent. Tentant de l'arręter, les chevaliers ont attaqué les Messagers, dans l'espoir de rompre leur ligne et de tuer Ronark, mais ils n'avaient aucune chance.
Au milieu du chaos qui a suivi, la voix fraîche d'Akara retentit: «Je ne vous permettrait pas de détruire mon peuple. Aujourd'hui, je vais vous emprisonner pour l'éternité!" Et le monde se trouva dans le feu.
Des roches volcaniques du noyau en fusion de Carnac ont explosé ŕ partir du sol, en grand nombre, et chacun d'eux tomba sur Ronark. Leur puissance combinée est trop forte męme pour lui et il ne put les tenir ŕ distance, et il disparut sous leur masse écrasante. Ils l'ont traîné vers le bas, brűlant ŕ travers les strates innombrables, jusque profond sous la surface.
Suivant de prčs derričre, Akara perfusa la terre avec une vie et une volonté de garder Ronark emprisonné. Dans sa hâte, cependant, elle négligéa de commander les roches volcaniques ŕ la suivre. Sans commandement, ils ont stupidement dévastés toute la ville de Moradon.
Dans l'horreur, logos observait le déroulement des événements. Il se blamait, car cela était le résultat de ses complots avec Akara. Une fois de plus sa création était en train de s'effondrer, et les ruines de Moradon en était la preuve. Ses remords le pressaient de se retirer dans les vides mystique, mais son sentiment de culpabilité l'obligat d'abord ŕ recréer Moradon.
Le terrain fut reconstruit, les plantes restaurées, et les créatures eurent de nouveaux lieux ŕ parcourir. La nouvelle ville fut établie ŕ partir des profondeurs de la terre, le plus pur des minéraux utilisés dans la construction de murs et de tours. De Grandes rues ouvertes sur de vastes cours pour le montage des plus beaux héros de Carnac. Pour assurer la reconstruction du commerce, logos nomma Kaishan, et sous sa direction Moradon saurait prospérer.
Lorsque Akara revenu quelques jours plus tard, elle appris tout ce qu'avait fait logos et elle devint furieux. Il semblait que Logos complotait pour lui voler la loyauté de son peuple. Pour déjouer ces plans, Akara injecta la force pure de la vie elle-męme dans l'artefact au Centre du château de Délos, émettant une attirance irrésistible pour tous les chevaliers. En outre, elle commenca ŕ récompenser les combats pour le contrôle du château. La Rrenommée d'un chevalier pouvait désormais se développer dans Delos.
Lorsque Akara visita le champ de bataille oů Girakon était tombé, elle nota avec préoccupation qu'il n'avait pas resuscité. La violence avec laquelle les essences de Cypher et de Pathos avaient quitté Girakon l'avait brűlé. Son corps était encore immortel, mais son essence était partie, ainsi il ne serait jamais le męme. La douleur d'Akara était forte, mais sa colčre encore plus forte. D'un coup, les masses de soldats Karusiens morts autour d'elle revenirent ŕ la vie, pénétrés de la puissance qu'elle invoqua. Mais ŕ sa grande horreur, Girakon restait inanimé. En désespoir de cause, elle appela les derniers vestiges d'ancienne âmes depuis longtemps enterrées et les insuffla dans son corps. Elle ne voulait pas perdre ce héros.
OProfond sous la surface de Carnac, la prison de Ronark était terminée. Les murs étaient vivants. Ils le regardaient avec une patience interminable, en étudiant comment elles pourraient contrer toutes ses tentatives d'évasion et il fit une tentative. Il invoqua ses pouvoirs de destruction et vaporisa de colossaux volumes de roche, ouvrant des cavernes qui pourrait accueillir la plus grande des villes anciennes. Ses pouvoirs de changement convertirent la roche en l'eau qui s'écoulčrent ŕ travers les fissures massives creusées par sa destruction, mais la roche s'éleva ŕ nouveau. Elle revenait toujours. Akara avait réussi ŕ fabiriquer la prison parfaite.
Avec le temps, Ronark a découvert qu'il pouvait toucher la surface de Carnac avec des vrilles légčre de sa puissance. La roche de vie ne pouvait pas le voir manier certains pouvoirs, alors il faisait semblant de dormir. Chaque fois qu'il atteint la surface, des messagers de Pathos s'empresseraient de rejoindre ce point, désireux d'entendre la parole de l'état de leur maître. Au cours de ces brčves rencontres, Ronark appris du monde extérieur.
Les efforts d'Akara pour ressusciter Girakon ont finalement aboutis. Il marchait ŕ nouveau, bien que son corps soit sévčrement vieilli et son esprit de vengeance disparu. Il ne se souvenait pas de beaucoup, mais ce qu'il se rememora étaient des pensées sombres. Parfois, tard dans la nuit, il se sentait une attirance inexplicable dans une certaine direction. Il ne comprenait pas pourquoi, mais il y avait quelque chose de familier et réconfortant dans le pouvoir qui l'attirait.
Les desseins d'Akara étaientt simples mais profonds: guérir les chevaliers Karusiens et les regarder submerger réguličrement les forces fatiguées d'El Morad. Sans un champion ou un dieu pour les aider, ils n'auraient aucunechance. Et ŕ la fin, son peuple finirait par revenir sur le devant. Tout El Morad serait asservis. «Ceci est mon temps. C'est mon monde. Et mon peuple recevra enfin la gloire qu'ils mérite."
Grâce ŕ des messagers de Pathos, Ronark entendu les chevaliers infatigables Karusiens, et il ne pouvait discerner les intentions d'Akara. Il savait que l'espoir de son peuple résidait dans son évasion, alors il se mis ŕ chercher le point faible de sa prison. Ce serait une tâche longue et acharnée, mais il savait que les roches de vie devaient avoir une faiblesse. Une fois trouvé, il aurait ses messagers pour lui fournir l'aide extérieur nécessaire.
Dans un premier temps, l'objectif d'Akara était simple: rendre justice au sort de son peuple, les Karus. Elle ne visait qu'ŕ les aider ŕ prendre suffisamment de terres d'El Morad pour vivre une vie prospčre et ętre en mesure de se défendre. Les choses changčrent.
La premičre bataille a été une épreuve, avec de nombreuses victimes d'El Morad, et les batailles successives donnaient un abattage toujours plus grand. Le carnage du champ de bataille a eu un effet inattendu. Il a relaché une énorme quantité de force de vie qu'Akara fut en mesure de manipuler, et en fait, elle découvrit une certaine joie ŕ changer le tissu męme de la vie. En effet, au-delŕ de sa vengeance, son désir était devenu la destruction systématique d'El Morad.
Et la destruction, c'est devenu. Tout droit jusque sous les murs du château d'El Morad, un peu comme dans les premiers jours, il redevenu le dernier bastion d'un nation unie mais vaincue.
Un jour ... ou une nuit ... il n'a jamais pu faire la différence, Ronark commenca la longue et lourde tâche de ruissellement d'un fil de tension ŕ travers la roche vivante de sa prison. Trčs lentement, délibérément, il senti un chemin jusqu'ŕ la surface, et une fois lŕ, il commença de le signaler ŕ ses messagers. Alors qu'il commencait juste ŕ avoir écho qu'Akara se déplaçait vers le château d'El Morad, un retour massif d'un étrange pouvoir ruissela ŕ travers son lien précieux avec le monde extérieur. N'ayant pas le temps de réagir, tout est pris une blancheur aveuglante.
Il y avait une chaleur intense. Et de la combustion. Ses yeux lui font mal. Pour commencer, Ronark réalisa que c'était le soleil qui était la source de son malaise. Collectant ses pensées rapides, il commenca ŕ sonder son entourage immédiat, ŕ la recherche de ce qui devrait ętre une prison étrange. Mais il y avait pas de murs, pas de pičges. Rien n'était la ... sauf un vide cool qui semblait absorber son flux de puissance.
Ŕ plat sur son dos, Ronark laissa tomber sa tęte pour qu'il puisse faire face ŕ la source du vide. Une silhouette sombre, męme dans le soleil de midi, était assis calmement et l'observait. Un instant plus tard, cette tache grandit doucement et s'avança vers lui, tendant une main. Une voix grave et épaisse avec un accent peu familier dit: «Viens. Il ya beaucoup ŕ faire. Ca devrait te plaire."
La main était dure, plus forte qu'il avait prévu, et le redressa facilement sur ses pieds. L'étranger sombre marmonna quelque chose entre ses dents, et dans son intéręt un brouillard flou entoura les deux .... Et puis il sentit les impacts destructeurs des projectiles de catapultes marteler les murs du château d'El Morad. L'étranger sombre se tourna vers l'étendue brillante de guerriers Karus en marche vers les murs et d'une voix calme dit: «Alors on en est venu ŕ ça."
"Akara a fait ce qui a été expressément interdit par Logos. Elle a participé activement ŕ tuer pour qu'elle puisse manipuler les flux libérés par la vie. Ses actions ont tellement affaibli les liens de ce monde que je l'ai senti, męme d'aussi loin que mes terres. Męme si elle doit gagner aujourd'hui, je pense qu'il y un peu que męme logos puisse faire pour prévenir l'effilochage du tissu męme de l'existence qui forme Carnac. "
"Si vous avez eu des griefs contre Akara, je vous suggčre de penser ŕ cette haine. Vous en aurez besoin. Akara n'est plus la petite déesse que vous avez connu. Elle a beaucoup augmenté son pouvoir, et elle en est ivre. Aujourd'hui nous ne nous battons pas seulement pour votre peuple. Aujourd'hui nous nous battons pour l'ensemble de Carnac. "
Puis Ronark remarqua que son compagnon sombre était en train de studieusement rassemblé du pouvoir dans un glovbe brillant entre ses mains. Et avec un contact de son doigt ganté un ruban cramoisi épais a commencé ŕ tisser un chemin vers le centre, mais avant qu'il puisse comprendre ce que cétait, son ami se tourna et le lanca sur le mur ŕ l'approche de l'armée Karus.
Ronark savait que lui-męme et son compagnon sombre pourraient s'occuper d'Akara, mais la rage de tous les Karus combinés porté par la destruction définitive d'El Morad exigerait un courage monumental pour les repousser. Il aurait voulu ętre avec ses chevaliers pour cette premičre, un choc explosif entre les lignes de bataille fermés. Avant qu'il ait pu insister davantage sur ces pensées, Akara déclencha la fureur d'une tempęte qui se concentra entičrement sur lui. Confiant et déterminé comme il le semblait, il y avait un doute encore persistante que sa bien-aimée Carnac pourrait ętre sauvées.